Final Fantasy IX

Fiche technique

  • Nom : Final Fantasy IX
  • Date de sortie : 16 février 2001
  • Autre date de sortie : 7 juillet 2000 (Japon), 13 novembre 2000 (Usa)
  • Plate forme : Playstation
  • Editeur : Squaresoft
  • Develloper : Squaresoft
  • Designer des personnages : Toshiyuki Itahana, Shukô Murase, Shin Nagasawa
  • Réalisation : Hiroyuki Itô
  • Programmation : Hiroshi Kawai
  • Direction artistique : Hideo Minaba
  • Illustration : Yoshitaka Amano
  • Musique : Nobuo Uematsu
  • Production, conception : Hironobu Sakaguchi
  • Genre : RPG
  • Nombre de joueur : 1 – (2)
  • Média : 4 CD-Rom

Est-ce sincère de dissimuler ses larmes derrière un sourire ? La vie a-t-elle un sens si l’on ne la voue qu’à autrui ? Pourquoi ne vivre que pour soi ressemble à une vie sans but ? Un titre reflète-t-il inexorablement l’individu qui le porte ? Les pensées des uns à l’égard des autres ont-t-elles de l’importance ? Qu’importe une vie si elle n’est pas jalonnée de souvenirs ? Errer sans coeur ni âme ne rend pas quelqu’un vivant ? Pourquoi faut-il sans cesse une excuse pour aider les gens ? A toutes ces questions, l’humanité cherche depuis toujours les réponses. La peur de ne pas les trouver, c’est la crainte d’aboutir une vie sans en avoir trouvé le sens.

Final Fantasy IX Final Fantasy IX Final Fantasy IX

A Alexandrie c’est l’effervescence, ce soir il va y avoir une représentation d’une pièce de théâtre intitulée « Je veux être ton oisillon ». C’est alors que les Nobles de Tréno s’installent aux places d’honneur, tandis que le « bas peuple » se débrouillera pour trouver des places sur les toits des maisons, mais c’est sûr, tout le monde veut assister cette pièce de théâtre.
Cependant personne ne sait encore que c’est un groupe de voleurs originaire de Lindblum qui s’apprêtent à se mettre en scène… dans l’ombre, il revoient une dernière fois leur plan : dérober des mains de l’hideuse Reine Branet sa jeune fille, la princesse Grenat Di Alexendros pendant que toute l’attention des regards seront portés sur la scène.
Hélas, tout ne se passe pas comme prévu. De son propre gré, la princesse s’enfuit avant de se joindre aux Tantalas (nos fameux voleurs). Elle comme eux ont un même désir qui les unis : avertir le Roi de Lindblum que la la Reine Branet menace de rompre la paix dans tout le continent.
La Reine, exacerbée, pourchasse les voleurs qui essaient de s’enfuir par aéronef et lance l’offensive. Le Prima Vista, vaisseau des Tentalas est alors touché et s’enfonce alors dans une forêt maudite, au pied du royaume. L’aéronef est malheureusement trop endommagé pour être utilisable, de plus ses passagers sont propulsés ça et là de la forêt… leur destination reste le royaume de Lindblum… si éloigné…

Un petit retour aux sources

Contrairement à ses deux prédécesseurs, Final Fantasy IX n’est pas construit sur un univers futuriste à la science fiction, mais bel et bien à un retour aux sources de la saga. C’est un retour à l’univers féerique des plus anciens : le contexte médiéval.
Pour ce neuvième opus, Hironobu Sakaguchi, qui s’est particulièrement impliqué alors qu’il s’occupe du premier film Final Fantasy, a mis l’accent sur la psychologie des personnages et sur l’histoire qui est au coeur de tous les rebondissements du jeu.
Il est intéressant de noter que cette fabuleuse histoire soulève un contraste avec l’univers, la musique et même les personnages de cet opus. Ils se veulent tous enfantins, drôles, colorés alors que les thèmes présents sont ceux du drame, de la cruauté et de la guerre. Square recherche toujours l’innovation, et l’originalité à chaque nouvel FF’ et c’est à chaque fois une réussite. Final Fantasy VII, VIII et IX n’ont rien à voir les uns des autres et plaisent. C’est leurs différences qui les rapprochent. Cette sensation de véritable nouveau plait incontestablement aux joueurs qui sont émerveillés d’années en années.

Un système de combat classique… mais c’est ça qu’on aime !

Final Fantasy IX

Pendant les phases de combats, il y aura l’intervention de quatre personnages au lieu de trois dans les deux précédents volets. Le système de MP revient après avoir été écarté dans Final Fantasy VIII. Comme à l’origine, chaque personnage a une classe : Djidane est un voleur alors que Grenat est une invocatrice, Bibi un mage noir, Steiner un preux chevalier, Freyja un chevalier dragon, Kwenna sera ici un mage bleu, Eiko un mage blanc et enfin Tarask comme un ninja. De ce fait, ce sont les pièces d’équipements qui enseignent aux personnages les compétences… certaines irons aux uns et pas aux autres. Le joueur devra donc stratégiquement activer les compétences les plus adaptées !

La fin des « anciens »

Pour ce FFIX, c’est la dernière fois que le duo Sakaguchi / Uematsu sera autant impliqué dans leur oeuvre, étant donné que leur participation dans les prochains opus se réduira au profit d’une équipe aux idées nouvelles… Comme dit précédemment, Hironobu Sakaguchi s’est particulièrement impliqué pour concevoir le scénario et le monde de Final Fantasy IX. On oubliera pas de noter bien évidemment Toshiyuki Itahana, Shin Nagasawa et Shukô Murase qui seront aux manettes du design des personnages (et ce n’est plus Tetsuya Nomura). En revanche Yoshitaka Amano reste à sa place d’illustrateur tandis qu’Hideo Minaba est à la tête de l’orientation artistique du jeu. Concernant la fabuleuse mélodie, c’est toujours Uematsu qui dirige le tout.

Introduction de Final Fantasy IX



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1 commentaire

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zikosakira Le 18 août 2010

FF IX et mon mon FF prefere je laime boucoupe...les decour sont magnifiqhe, la music extrat le senario et bone et gamplay est du solid...